Annulation Idris Ackamoor & The Pyramids ↬ Appel à projets - Embrayage ↫ ✷ Écouter nos playlists Spotify ✷ !* Le programme de janvier à avril 2024 est en ligne *! ✷ Écoutez la playlist Spotify des 30 + 2 ans ✷ Écoutez la playlist Spotify "Luminescence" Écoutez la playlist Spotify "En Piste"
arrow_back Retour

ATOEM + AUST

Un objet musical non-identifié né d’un lointain big bang électro s’apprête à atterrir sur Neuchâtel. Gabriel Renault et Antoine Talon aka ATOEM, répandront à la Case à Chocs des symphonies spatiales et une techno impeccable aux variantes froides et aux particules sonores, prêtes à nous faire danser jusqu’à la frénésie. En préambule, AUST, présentera The Beauty of Dying, un premier album qui navigue entre mélancolie et fermeté. Des sons qui vous plongerons en introspection pour que la musique se transforme en images et sensations.

AG Culturel 0.- * / Music Pass & Carte Culture 5.-* / Prélocation 15.- / Caisse du soir 20.- / 
* Réservation par e-mail à promotion@case-a-chocs.ch

Infos

Portes : 20h30
AUST : 21h15
ATOEM : 22h45
Fermeture : 00h00
Grande salle / Dès 16 ans

CHF 5 - 20 PETZI

ATOEM (France)

Le duo qui compose ATOEM a assimilé new-wave, ambient, rock et techno pour construire des tracks selon leur propre algorithme, équation synthétique de séquences et schémas musicaux, de ritournelles planantes et entêtantes. Une techno créée méthodiquement qui modèle un univers musical audacieux allant jusqu’à l’origine du son. Musiciens et expérimentateurs ATOEM a poussé très loin leurs questionnements ontologiques, jusqu’à fabriquer leur propre synthétiseur modulaire, pyramidion de leur installation scénique. Après l’EP Enter The World’s Symmetry sorti en 2019, ils s’apprêtent à dévoiler leur premier Album, une nouvelle aventure cosmique en perspective, avec l’exploration musicale comme point de fuite.

Le coup de cœur de la Case Precious Land

Electro Pop

AUST (Suisse)

Concert soutenu par la Fondation CMA  dans le cadre du projet OPERATION ICEBERG

Le neuchâtelois AUST est à l’origine d’une musique électronique émotionnelle et non-dédiée exclusivement au clubbing. Ses compositions combinent des sons synthétiques et organiques, un travail qui génère des mélodies travaillées dans la chaire. Les morceaux relativement complexes paraissent étonnamment spontanés. En découle un univers joyeusement mélancolique qui invite à un voyage pictural, immersif et poignant. Après plusieurs EPs cumulant plus de 7 millions d’écoutes sur les plateformes de streaming et un soutien non-dissimulé de la presse spécialisée, «The Beauty of Dying», est un opus abouti et peu influencé par les modes passagères. Un album qui se révèle quand l’écoute est active et consciente, pour laisser place à un léger sentiment d’ivresse sonore.

Le coup de cœur de la Case Pedro Low